mardi 15 avril 2014

SUPER BLAIREAU CULTUREL

Je n’aurai pas le temps de raconter ce que je sais du Super Blaireau Culturel…
Je vous parle là d’un temps que les moins de … etc.


Juin 1991, Trélissac en Périgord : un tour d’horizon définitif –et dérisoire ? – sur ce qu’auront été 15 000 ans de culture au "Pays de l’Homme", une grande belle aventure inoubliable pour ceux qui l’ont vécue. Si le web et ses blogs avaient alors existé, Google aurait gardé bien des traces de l’événement. Ceux qui veulent savoir devront se contenter des archives de SUD-OUEST et de la Dordogne Libre. Les plus futés pourront espérer retrouver des traces du héros dans des enregistrements de l’époque du côté de CANAL+ car l’animal a trimbalé sa fourrure "et noire et blanche" jusqu’à la capitale lors d’une immense manifestation antiraciste. Il n’y aurait rien d’étonnant à ce que des traces subsistent aussi dans quelque tiroir de l’armoire Désordre Public de la préfecture de la Dordogne. Car l’événement trélissacois, aboutissement du long et jouissif parcours entrepris plus de dix ans auparavant par un agitateur magistral, fut considérable et, hélas ! définitivement unique : une centaine de plasticiens, de musiciens et de poètes, des sportifs et des politiques, des manuels et des intellos, des groupes et des équipes, une parachutiste et un vrai blaireau, tous mobilisés par l’enthousiasme – ou le désespoir ? - d’un seul homme, pour peindre, sculpter, jouer, créer, parodier, ironiser, rire et peut-être pleurer, dans les salles communales, sur les stades et dans les coteaux.
Quelques mois plus tard Super Blaireau quittait la Dordogne ; l’occasion d’une dernière énorme fête culturo-gastronomique.
Depuis, plus rien à voir. Le transit culturel périgourdin est constipé.
Il faut dire que le FDAC (Fond départemental d’art contemporain) n’aide pas à la digestion !

lundi 18 janvier 2010

Michel BACOFIN peintre et voyageur

Juste le temps de publier quelques images volées lors du vernissage de l’exposition « BACOFIN », vendredi 16 janvier. Il ne s’agit que de détails, de quoi restituer le ton, les couleurs, les sons, peut-être les parfums d’épices, accumulés par le peintre voyageur.









Exposition des œuvres de Michel Bacofin au Château des Izards,
à Coulouniers-Chamiers (Dordogne), jusqu’au 7 février.
Ouverture tous les jours de 14h à 18h.



dimanche 10 janvier 2010

A DON QUICHOTTE

Belle et Bonne Année 2010 !


" Don Quichotte - La Fin du rêve" Technique mixte sur toile (81x65)